À la fin du printemps, les graminées confient leur trésor à la brise. Dactyle, pâturin, ray-grass ou encore ici vulpin chargent le vent de transporter leur délicat pollen pour féconder d’autres herbes de leur espèce, peut-être à des centaines de kilomètres d’ici. Une petite partie de ces milliards de grains de poussière iront irriter les muqueuses de certains d’entre nous. Le rhube des foins, vous connaissez ?